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Child of Light édité par Ubisoft est un soft qui semble très prometteur. Un patte artistique magnifique, mise en avant par le Ubi Frameworks, le moteur maison qui nous a ébloui la rétine dans l’excellent Rayman Legends. Il en fallait pas plus pour m’intriguer.
« Le royaume de Lemuria court un grand péril…
La Reine Noire a volé le soleil, la lune et les étoiles, plongeant le royaume dans les ténèbres. Incarnez Aurora, une jeune princesse au cœur pur dont l’âme vient de rejoindre le royaume de Lemuria. Préparez-vous à vivre une quête palpitante à la recherche des trois sources de lumière volées. Tous les espoirs des habitants de Lemuria reposent sur vous pour vaincre la Reine Noire et rendre au royaume sa grandeur passée… »

Un air de Zelda ?
Child Of Light est un RPG inspiré de l’univers des contes de fées, pensé par une petite équipe de vétérans et comme un véritable poème jouable.
Le jeu semble être un véritable hommage au RPG Japonais.
Comme une bonne vidéo vaut mieux qu’un long discours, voici le trailer qui donne vachement envie.
Difficile de ne pas tomber sous le charme devant les magnifiques graphismes du jeu. Bien que le combat au tour par tour n’est pas ma tasse de thé, je vais faire l’effort pour Child of Light tant les vidéos m’ont taper dans l’oeil.

L’edition Collector, sans jeu 🙁
A noter qu’Ubisoft nous sort une version Collector « demat ». Oui vous avez bien lu. Pour cette édition « collector », vous aurez un packaging classieux, du contenu digital additionnel et des goodies sympa, mais pas de jeu physique dans la boite. Non, vous aurez juste un code pour le télécharger sur le PSN.
Et dire que beaucoup crient au scandale sur le concept de Metal Gear Solid V : Groud Zeroes.
Bref, comme je veux tâter ce jeu et que ma « collectionïte » aiguë est en manque, je vais me laisser tenter sur ce titre.